Chronique Les Filles au lion de Jessie Burton

- Jessie Burton
- Traduit de l’anglais par Jean Esch
- Folio
- 07/06/2018
- 8 p., 9 €
32 libraire(s)
- Emmanuelle Belle de Maison du livre (Rodez)
- Catherine Le Duff
- Marie Michaud de Gibert Joseph (Poitiers)
- Isabelle Aurousseau-Couriol de de Paris (Saint-Étienne)
- Michèle Germain de ParChemins (Saint-Florent-le-Vieil)
- Valérie Fourmentel de Alpha B (Saint-Omer)
- Nadine Leimacher de Maison de la presse (Haguenau)
- Béatrice Leroux de Gibert Jeune (Paris)
- Stanislas Rigot de Lamartine (Paris)
- Maïté Blatz de Le Roi livre (Paris)
- Valérie Faucon de Graffiti (Castres)
- Marie-Odile Perrocheau de Agora (La Roche-sur-Yon)
- Aurélie Janssens de Page et Plume (Limoges)
- Françoise Dupuis-Marsal de Le Neuf (Saint-Dié-des-Vosges)
- Marie-Laure Turoche de Coiffard (Nantes)
- Isabelle Theillet de Les Libraires Volants (Paris)
- Jean-Baptiste Hamelin de Le Carnet à spirales (Charlieu)
- Christine Charrier de Agora (La Roche-sur-Yon)
- Delphine Olivier-Auzie de Le Pain de 4 livres (Yerres)
- Agathe Grandjouan de CBPT (Nantes)
- Frédérique Gillet-Jardat de Le Cadran solaire (Riom)
- Blandine Vincent de des Canuts (Lyon)
- Florence Reyre de Du côté de chez Gibert (Paris)
- Magali Mohamed de Le Pain des rêves (Saint-Brieuc)
- Véronique André de Baba-Yaga (Sanary-sur-Mer)
- Maria Ferragu de Le Passeur de l'Isle (L'Isle-sur-la-Sorgue)
- Madeline Roth de L'Eau vive (Avignon)
- Pauline Kermanach de Livres in room (Saint-Pol-de-Léon)
- Rachel Besnard-Javaudin
- Caroline Perez de de la place aux Herbes (Uzès)
- Aurélie Bouhours de Au temps des livres (Sully-sur-Loire)
- Jean Chasseloup de Thuard (Le Mans)
Aurélie Janssens Librairie Page et Plume (Limoges)
Dans les années 1960, la jeune Odelle Bastien quitte les Caraïbes pour Londres. Elle devient dactylo dans une galerie d’art dirigée par Edmund Reede, la soixantaine, plutôt conservateur, et Marjorie Quick, une femme élégante, moderne et mystérieuse. Lors d’une soirée, Odelle fait la rencontre de Lawrie Scott et tombe sous le charme du jeune homme. Il possède un tableau hérité de sa mère qu’il souhaite faire expertiser. Lorsqu’il apporte la peinture, représentant des filles et un lion, Marjorie Quick quitte la galerie précipitamment, complètement perturbée. Odelle, elle-même en proie à des sentiments forts et contradictoires, va tenter de découvrir les mystères que recèle cette toile. Et à l’auteur de mettre alors deux lieux et deux époques en parallèle : le crachin londonien des années 1960 laisse place à la chaleur de l’Andalousie de 1936, et la jeune Antillaise Odelle à la jeune Anglaise Olive. Le père de cette dernière est marchand d’art et vient de s’installer pour quelques mois avec elle et sa mère dans une finca.