Chronique Nos beaux doudous de Stéphane Servant

- Stéphane Servant
- Illustrateur(s) : Ilya Green
- Didier Jeunesse
- 17/09/2013
- 40 p., 12.90 €
11 libraire(s)
- Laurence Behocaray de IUT Carrières Sociales - Site Jean Luthier - Université de Tours (Tours Cedex)
- Laëtitia Cador de Maison du livre (Rodez)
- Gaëlle Farre de Maupetit (Marseille)
- Guillaume Boutreux de M'Lire (Laval)
- Enrica Foures de Bazoom (Auray)
- Amélie Ranchin de Le Jardin des lettres (Craponne)
- Bénédicte Cabane de des Danaïdes (Aix-les-Bains)
- Sophie Martineau de Agora (La Roche-sur-Yon)
- Claire Lebreuvaud de Le Pavé dans la marge (Mérignac)
- Julia Lahoz de Sauramps (Montpellier)
- Noëmie Kormann de Le Failler (Rennes)
Julia Lahoz Librairie Sauramps Polymômes (Montpellier)
Encore une collaboration réussie pour Stéphane Servant et Ilya Green qui nous livrent un texte plein de poésie et de nostalgie, et dont les illustrations reproduisent un monde féerique coloré et rempli de douceur, un univers où l’on peut se réfugier, rêver et grandir. Ce livre aborde une thématique importante chez les petits : les doudous. Nos beaux doudous place l’enfant au centre du livre, c’est lui qui raconte sa relation avec son doudou. Le doudou grandit à la place de l’enfant qui, lui, veut rester petit. Il est dépendant de ce grand animal en peluche qui le protège de tout et prend beaucoup de place dans sa vie. Jusqu’au jour où le petit personnage rencontre d’autres enfants et commence à se sociabiliser. Alors il laisse progressivement son doudou de côté. Pendant que le doudou part en voyage sur son bateau en papier, l’enfant peut grandir, mener ses propres expériences, s’ouvrir au monde et aux autres. Mais le doudou n’est jamais très loin et, avec lui, la nostalgie et le parfum de l’enfance.