Jeunesse
John Bemelmans Marciano
Les Neuf Vies de Philibert Salmeck
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John Bemelmans Marciano
Les Neuf Vies de Philibert Salmeck
Illustrateur(s) : Sophie Blackall
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Mickey Gaboriaud
Les Grandes Personnes
01/11/2030
168 pages, 16 €
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Chronique de
Kelly Tran
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❤ Lu et conseillé par
8 libraire(s)
- Laurence Behocaray de I.U.T. Carrières sociales, Université (Tours)
- Mélanie Mignot de Le Grand Cercle (Éragny-sur-Oise)
- Magali Moscovici
- Manon Bardin de La Bulle (Mazé)
- Élodie Raymond de Charlemagne Toulon (Toulon)
- Julia Segui de Texture (Paris)
- Charlotte Lebourg de Mémoire 7 (Clamart)
- Vanessa Berthelemy de Collège Jules Romains (Nice)
✒ Kelly Tran
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Chez les Salmeck, on est odieux de père en fils, c’est la tradition. Autre coutume dérangeante : on meurt jeune, souvent de manière sordide et si possible dans d’atroces souffrances. Quant à la famille Austerman, elle veille sur les Salmeck depuis autant de générations, échouant sans cesse à leur mission face à tant de bêtise et d’égoïsme. Mais Philibert Salmeck, s’il ne prévoit pas de changer de caractère, a bien l’intention d’enrayer cette fatalité ! Comment ? En se faisant implanter les neuf vies de son chat bien sûr ! L’opération du Dr Kranstenenif est un succès et Philibert, ne craignant plus la mort, se met à dévorer ses vies à pleines dents ; un peu trop sûrement. Ses huit vies se succèdent à une allure ahurissante à force d’intrépidité, et ce n’est qu’à la neuvième que Philibert fera preuve d’un sursaut de conscience, au grand dam de son fidèle Austerman.